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07 février 2020

Profiter de la Saint-Valentin pour… parrainer un animal?

Bioparc de la Gaspésie

Cougar

©Photo Gracieuseté - Annie Dubé, Bioparc de la Gaspésie

Ralphie le cougar est l’un des pensionnaires du Bioparc ; il peut, comme tous les autres, être parrainé.

SENSIBILISATION. Le Bioparc de la Gaspésie profite du mois de l’amour et de la Saint-Valentin afin de promouvoir son programme de parrainage. Les personnes ou groupes désirant faire leur part pour les pensionnaires du jardin animalier de Bonaventure sont invités à se jumeler à l’un d’eux en retour d’un don de 50 $ à 200 $.

L’initiative en place depuis 2014 contribue à récolter des sommes qui vont directement dans le fonds de roulement de l’attrait touristique ; elles contribuent, entre autres, à couvrir les coûts reliés aux soins et à l’alimentation des bêtes qui y résident. À titre indicatif, la facture annuelle d’épicerie du Bioparc se situe à environ 60 000 $, alors que l’organisme doit notamment fournir 10 000 kilos de nourriture sèche, 400 kilos de viande, 1500 kilos de poisson et 1800 kilos de fruits et légumes à ses protégés.

Or, ce n’est pas pour des motifs financiers que ce programme a d’abord vu le jour. « Ce que l’on souhaitait en premier lieu, surtout, c’était d’avoir un outil de sensibilisation supplémentaire et de rester en contact avec les visiteurs. On voulait aussi que les gens s’attachent un peu plus aux animaux », explique Marie-Josée Bernard, directrice générale du site. Selon elle, il s’agit également d’un excellent moyen de mieux faire connaître les espèces indigènes que l’on retrouve sur place.

Les donateurs profiteront de plusieurs avantages en ce sens, puisque l’institution zoologique leur fournira notamment, en plus d’un certificat de parrainage, une fiche technique relative à l’espèce choisie, une biographie de l’animal en question, une photo de lui ainsi que des vidéos et nouvelles de ce dernier au cours de l’année.

Du cougar… à la blatte!

Que ce soit Bilbo la loutre, Xalie le caribou des bois ou Ralphie le cougar, chacun des spécimens rescapés ou nés en captivité qui demeurent au sein de l’institution animalière peut faire l’objet d’un parrainage. « À la rigueur, quelqu’un qui voudrait parrainer une mygale ou une blatte pourrait aussi le faire », lance en riant Mme Bernard.

L’adoption est également ouverte à tous, précise la gestionnaire : « Tout le monde peut parrainer. Ça peut être un particulier, une famille, un groupe scolaire ou une entreprise ». Précisons que le même animal peut bénéficier de plusieurs parrainages.

Les personnes intéressées à obtenir plus de détails peuvent consulter le www.bioparc.ca. Une quinzaine de parrains choisissent d’adhérer au programme chaque année.

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